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Les recherches sur la maison Reboul-Vucino

Nous avons trouvé récemment sur un site d'échanges sur les levantins, dont nous vous parlerons dans un prochain post, de nouvelles informations sur la famille Reboul-Akaoui.

Jean AKAOUI, le fils de Michel et Yvonne raconte notamment

 "Ma mère Ivonne Reboul était la fille aînée de la famille dont les frères et sœurs étaient Laurent Reboul, Gil Reboul et Jacques Reboul. Laurent est celui qui a grandi pour devenir agent maritime. Mon grand-père maternel et ma grand-mère vivaient à Kadıköy dans une maison à côté de la confiserie sucrée de Hacı Bekir. Ma mère est également née dans cette maison
La pâtisserie Haci Bekir existe toujours a Kadikoy (plan ci-dessous). C'est une vraie institution a Istanbul.
Il reste a vérifier si l'emplacement est toujours le meme qu'a l'époque que raconte Jean AKAOUI, et nous aurons fait un pas pour savoir deaj ou se trouvait cette maison.




Haci Bekir, « un héritage culturel »

Par
Aujourd'hui la Turquie
le 28 octobre 2013
Haci Bekir est une institution à Istanbul. La confiserie au logo rouge, présente à travers quatre magasins dans la ville – deux à Bahçekapi, un à Beyoğlu et un à Kadiköy –, continue de jouir d’un grand succès. Avec plus de deux siècles d’activité, la maison a eu le temps de se faire un nom à travers le monde. A l’occasion du Ramadan, on a poussé la porte de la plus célèbre pâtisserie d’Istanbul pour y rencontrer Mme Emine Celâlyan, la descendante d’Haci Bekir et gérante de la confiserie.

Istanbul comme seul fief
Installé à Istanbul depuis 1777, Haci Bekir se fait connaître en tant qu’inventeur des loukoums. Il a notamment été le premier à utiliser de l’amidon à la place de la farine pour fabriquer ces sucreries, ce qui d’après Mme Celâlyan « rend possible la fine structure et la résistance du produit ». Bien qu’ayant une renommée mondiale, la pâtisserie Haci Bekir reste surtout connue comme une « vieille et authentique entreprise stambouliote ». La pâtisserie n’est pas présente dans les autres villes turques, mais ses produits sont exportés dans différents pays, tels que les États-Unis, l’Angleterre, le Japon, Dubaï ou encore la Nouvelle-Zélande. Elle possède également des distributeurs et des partenaires dans certaines villes anatoliennes.
La mode à la Haci Bekir
Évidemment, parmi tous les produits vendus, ce sont les loukoums qui ont le plus de succès. Ces sucreries traditionnelles aux différentes saveurs ravissent toujours autant les Stambouliotes. Exportés sous le nom de turkish delight à travers le monde, les loukoums restent, avec les hard candy appelé aussi akide en turc, les produits phares de la pâtisserie. On trouve à leur suite des pâtisseries classiques : baklavashelva, pâte d’amande ou encore boissons typiquement turques.
Durant le ramadan, des desserts plus spécifiques sont vendus, notamment les güllaç qui sont confectionnés uniquement pendant le jeûne musulman. Cependant, les turkish delight restent en tête des ventes durant ce mois de diète.


Tradition et authenticité comme fils conducteurs
Mme Celâlyan est catégorique : « en tant qu’entreprise traditionnelle », elle ne voit pas son « affaire comme uniquement une recherche de bénéfices ». La conservation des recettes authentiques de son aïeul est primordiale, autant pour l’image de la pâtisserie que pour la qualité de ses produits. Il y a eu des innovations bien sûr, des recherches de nouvelles saveurs, mais la famille Bekir met un point d’honneur à conserver ses recettes traditionnelles.
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Préservation d’un savoir-faire 
Il n’existe pas de recette magique chez Haci Bekir. Pourtant, comme nous l’explique la gérante, il n’y a pas que la production qui est traditionnelle, la gestion de l’entreprise l’est également. Étant dans les mains de la même famille depuis plus de deux siècles, certains sont employés de pères en fils chez Haci Bekir. Il y a cependant plusieurs conditions à réunir pour obtenir les meilleurs loukoums : respecter la recette authentique, utiliser les bons ingrédients, à savoir de l’amidon, du sucre et de l’eau (pour la base) et avoir des artistes en cuisine. Rien que de très normal pour Mme Celâlyan, pour qui « faire des douceurs est un art », et qui finit par nous confesser que « peut-être que l’amour est le secret ! ». Plus de deux siècles d’amour peuvent en effet être à prendre en compte dans le mystère des fameux loukoums d’Haci Bekir.
La pâtisserie de l’avenue d’Istiklal, comme celle du quartier de Kadiköy, est chaleureuse. Aux murs s’affichent des gravures des différents logos du magasin, ainsi que des vieux papiers administratifs attestant de l’ancienneté du commerce familial. Les grands bocaux refermant toutes sortes de hard candy forment un camaïeu de bleu et de vert  sur le comptoir, tandis que trônent dans les vitrines les différentes douceurs que l’on peut emporter ou déguster sur place avec un thé chaud.




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